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Après la fourrure, Armani renonce à la laine angora au nom de la souffrance animale

Pas moins de 90 % de la fourrure angora du monde viendrait de Chine selon l'ONG Peta, qui accuse les élevages chinois d'arracher les poils sur des animaux vivants. ©Peta

La maison de mode italienne Armani s'est engagée à bannir la laine angora de ses collections à partir de la saison automne-hiver 2022/2023, allongeant ainsi la liste des matières proscrites dans le cadre de sa politique à l'égard du bien-être animal.

"Je suis heureux d'annoncer" la suppression "de la laine angora de toutes les collections du groupe", a déclaré le styliste Giorgio Armani dans un communiqué (1/12/2021), en signe de son engagement en faveur de "la protection de la nature". Chez Armani, "le pourcentage de vêtements contenant de la laine angora est très faible et nous prévoyons de les remplacer par des matières (répondant) aux normes les plus strictes en matière de bien-être animal", a précisé à l'AFP une porte-parole du groupe.

Des poils arrachés sur des animaux vivants

La griffe italienne emboîte ainsi le pas à d'autres groupes du secteur de la mode comme Gucci, Zara, Burberry ou encore H&M qui entendaient ainsi se démarquer de pratiques impliquant de la maltraitance animale. L'organisation de défense des droits des animaux Peta avait appelé dès 2013 au boycott des produits fabriqués à partir de fourrure de lapin angora (un produit réputé pour sa texture soyeuse et légère, NDLR), accusant – vidéo à l'appui – les élevages chinois d'arracher les poils sur les bêtes vivantes. Selon Peta, 90 % de la fourrure angora du monde vient de Chine.

Georgio Armani avait annoncé en 2016 renoncer à toute forme de fourrure animale dans ses collections, assurant qu'il existait désormais des alternatives valides à ces "pratiques cruelles".

(Avec AFP)