« Pas de pied, pas de cheval » dit l’adage. Avec près de quatre millions de sabots à entretenir et à ferrer, le métier de maréchal-ferrant a encore de beaux jours devant lui en France.
Une excellente condition physique est requise car la position de travail sollicite beaucoup le dos. Sur les 1400 maréchaux-ferrants en exercice, on ne compte qu’une trentaine de femmes.
Les maréchaux-ferrants sont représentés par deux organisations professionnelles patronales : la FNAR (Fédération Nationale de l’Artisanat Rural) et l’UFM (Union Française des Maréchaux-ferrants).
Fiche réalisée par la rédaction du magazine 30 millions d’amis
Photo : © cassam - Fotolia.com